Elle a commencé officiellement jeudi sur la base du volontariat pour les salariés âgés de 50 à 64 ans atteints de comorbidités, qui se voient administrer le vaccin AstraZeneca. Mais certains professionnels constatent "un gros problème de logistique entre le médecin volontaire, le pharmacien qui fait sa demande, et les doses disponibles".