Accusé par l’actrice d’avoir mis en doute les violences sexuelles dont elle l’accuse, le cinéaste a été relaxé mercredi 4 décembre par la cour d’appel de Paris. Il ne s’agissait pas de déterminer si Roman Polanski avait violé ou non l’actrice britannique mais s’il avait fait, ou non, un usage abusif de sa liberté d’expression.