Ce dimanche 1er décembre, trois lois doivent être votées au Parlement irakien. Chacune est très sensible et est soutenue par l’une des trois composantes importantes à l’Assemblée. Et aucune composante chiite, sunnite ou kurde, n’accepte de soutenir la loi d’une autre, si son texte n’est pas accepté. Ces trois votes, le même jour, doivent sortir les partis de l’impasse.